En ce moment, la croisière fluviale est un loisir adéquat pour les vacances. De nombreux français et étrangers optent pour une croisière sur la Saône. Ainsi, ils peuvent découvrir la région et admirer des paysages magnifiques. De plus, il est aussi possible de visiter certaines villes au passage et découvrir plusieurs endroits. Cette croisière est alors une source de découverte de plusieurs lieux touristiques attractifs. La Saône est très riche en endroits incroyables. Mais, est-il possible de vivre une escapade magique sur la Saône ? Quelles sont les principales escales possibles ? Et quand partir en croisière sur la Saône ?

Une escapade magique sur la Saône

Une croisière fluviale sur la Saône vous permet de voyager sur une Camargue allant de la Saône à la Provence. Celle-ci permet de vivre quelques jours de rêves. Cette croisière sur la Saône représente également une destination séduisante au cœur de la Méditerranée. Ainsi, dans le Nord par la Saône, vous pouvez admirer les plus célèbres vignobles qui vous invitent à un véritable pèlerinage.

Par ailleurs, si vous faites une croisière sur les rives du Rhône puis sur la Saône, il est possible de visiter la ville de Lyon. Il est également possible de profiter d’une promenade sur les rives de Saône.

Principales escales pour une croisière sur la Saône

Pour une croisière sur la Saône, il est possible de réaliser la croisière Rhône-Saône. Celle-ci vous permet de profiter de plusieurs escales possibles. Arles constitue un département des Bouches du Rhône à visiter dans cette croisière.

Ensuite, sur la rive gauche du Rhône, Avignon est la prochaine destination pendant la descente. Puis, il y a la ville de Lyon qui est un véritable carrefour géographique lors de cette croisière en Rhône-Saône.

Les prochaines escales se font alors à Roquemaure qui est la rive droite du Rhône, la Camargue qui est situé au bord de la méditerranée, et aussi les Viviers. Puis, il y a le passage à la Voulte-sur-Rhône, et enfin à Mâcon. Ces destinations sont visitées lors de cette croisière sur la Saône.

Quand partir en croisière sur la Saône ?

Afin de profiter parfaitement et pleinement de cette expérience croisière sur la Saône, il est vraiment préférable de le faire au printemps, ou encore en été. Ainsi, il est possible de profiter du beau temps, mais aussi d’admirer les divers paysages. Il existe plusieurs monuments historiques et chefs-d’œuvre qui s’offrent à vous durant cette escapade inoubliable. Chaque ville d’escale offre des intérêts uniques également. De plus, il est aussi possible de profiter des spécialités locales et d’apprécier chaque gastronomie qui existe dans les villes à explorer. Vous pouvez alors faire une découverte culturelle dans chaque ville et destination de la croisière fluviale sur la Saône.

Un bon plat est toujours délicieux. En accompagnant un verre de vin, il est encore plus appétissant. Il faut savoir accorder le vin et le plat à déguster. Alors, le plat sera de plus en plus savoureux. Le vin aide à avoir de l’appétit. Il faut avoir plusieurs sortes de vin pour accompagner de différents plats. Un bon vin lyonnais peut être trouvé dans des caves triées sur le volet. Il peut être trouvé par de différents moyens.

Accord entre un vin et un plat

Un bon repas doit être accompagné par un bon vin. Savoir doser un équilibre de la saveur vin/plat ressort de la faculté d’un vrai chef. Avec un plat raffiné, il faut choisir des vins raffinés pour l’accompagnement. Il n’est pas nécessaire de compliquer les choses. Pour un plat simple, un vin simple peut faire l’affaire. Les mélanges de goût entre vin et plat peuvent devenir un désastre pour les non-initiés. Un vin raffiné avec un plat simple sera une mauvaise idée de mélange. Le vin peut détruire le goût du plat. Avoir quelques bouteilles de vin différentes pendant une soirée est utile. Il faut accorder la saveur de vin et du plat. Lyon est une ville qui produit de bons crus et le vin lyonnais est très à propos pour accompagner un bon plat.

Le vin d’accompagnement

Le vin peut créer un goût appétissant. Il provoque l’envie de manger et de savourer un plat. Un vin mousseux peut être bu pendant l’apéritif. L’important est de choisir le vin en fonction de l’ingrédient du plat. Pour une entrée, le plat principal et le dessert, il faut choisir un bon vin d’accompagnement, car un mauvais choix peut détruire le goût du repas. Le vin blanc est idéal pour accompagner le poisson, il peut aussi aller avec un plat de fruit de mer. Pour un plat aux épices doux par contre, un vin blanc doux peut être savoureux. En général, le vin rouge rosé peut s’allier avec le plat principal. Mais un vin rouge souple s’accorde mieux avec un apéritif. Tout le monde est à la recherche du meilleur vin lyonnais.

Trouver les meilleurs vins lyonnais

Lyon est une ville qui produit des vins. Ses vins produits sont de différentes qualités. La qualité du vin dépend de sa production. Le but est de trouver le meilleur vin. Cela peut être difficile. À Lyon, il y a plusieurs caves de vin, mais quelques-unes seulement peuvent contenir un meilleur vin. Comment savoir lesquelles offrent le meilleur vin ? Il faut tout d’abord se renseigner. Il est possible d’aller voir toutes les caves et faire une dégustation, mais cela demande beaucoup de temps. Pour faciliter la recherche, il faut consulter les sites de vin lyonnais. Ces sites proposent beaucoup de vins de différentes origines. Quelques caves seulement peuvent contenir le meilleur en termes de vin. Il faut alors faire une dégustation et après, il est possible de reconnaître le meilleur vin.

La France est un pays très connu pour sa fabrication de fromage. À Lyon, il y a différentes fromageries très connues qui fabriquent de meilleurs fromages. Vous devez seulement choisir avec soin le type de fromage que vous allez utiliser. Il est aussi facile de trouver le fromage en ligne ou en vous déplaçant directement dans leur point de vente.

Le Saint-Marcellin, le Saint-Félicien et l’Arôme Lyonnais

Le Saint-Marcellin est perçu comme le meilleur fromage de Lyon qui a été inventé en 15e siècle. Autrefois, on l’a fabriqué avec du lait de chèvre, mais aujourd’hui, on la fabrique avec du lait cru d’une vache. Il est devenu très populaire à partir du 19e siècle.

Le Saint-Félicien est aussi fabriqué avec du lait de vache cru. Cependant, il vient de la commune ardéchoise Saint-Félicien. Il est plus grand et plus crémeux. Il contient des notes de noisette et c’est ce qui la différencie des autres fromages.

L’arôme lyonnais est fabriqué avec du lait de vache à pâte molle. Durant la période de fabrication, on le met dans du vin blanc pour un intervalle de 4 à 8 semaines. Il est assez petit, mais il est plus attrayant sur le goût.

La Cervelle de Canut et le Bouton Lyonnais

On l’appelle aussi « claqueret », c’est un fromage de Lyon très apprécié par les ouvriers de La Croix-Rousse. On l’a inventé vers le 19e siècle. On peut fabriquer plusieurs recettes avec ce bon fromage. Elle devient de plus en plus populaire, parce qu’elle s’adapte à presque tous les plats. C’est un fromage blanc battu qu’on peut mélanger avec de l’huile d’olive, de l’ail, d’oignon…

Le Bouton Lyonnais est fabriqué avec du lait de chèvre. Il n’est pas très léger pour l’estomac, mais il n’y aura aucun problème avec un bon accompagnement. Elle est utilisée à la maison et par les grands cuisiniers professionnels.

La Tomme du Beaujolais et le fromage fort de la Rousse

Le fromage Tomme du Beaujolais vient du Beaujolais. Dans ce fromage qui attire plus de monde, elle contient 22 % de matière grasse. Il est assez léger dans la bouche et il a un goût assez sensible. Il est très fondant et c’est très pratique si on l’utilise dans les repas à servir chaud.

Le FFCR ou le Fromage fort de la Croix rousse est aussi fabriqué en Beaujolais et en Dombes. Il est fabriqué avec des fromages de chèvre et des fromages bleus avec du sel, du poivre, du levain ainsi que du vin blanc. Ensuite, on le met dans un bocal et on le conserve toute une année avant d’être mangé. C’est un fromage de Lyon fort et c’est pour cette raison que plusieurs personnes l’aiment. Vous devez seulement choisir un bon accompagnement qui va faciliter la digestion.

Lyon est une des grandes villes de la France. Depuis toujours, elle est réputée par sa gastronomie. Elle dispose d’une multitude de spécialistes et de traditions culinaires. Lors de vos séjours à Lyon, il est primordial de savourer à ses fameuses préparations culinaires particulières. En effet, cette ville regorge des trésors gustatifs pour émerveiller les papilles des petits aussi bien que des grands. Locaux, touristes et vacanciers peuvent trouver du plaisir en goûtant la spécialité culinaire de Lyon.

Connaître l’entrée distinguant la ville des Lumières

Pour être certain de savourer votre repas, commencez par une entrée de spécialité lyonnaise. Parmi ces plats les plus connus s’affichent les grattons. Ce sont des couennes de porc grillé consommé à l’apéritif. Il y a aussi les charcuteries locales à savoir le saucisson lyonnais, la rosette et le cervelas. Ils constituent les plus choisis des touristes lors de leur séjour. Puis, vous pouvez opter pour de la salade composée de plusieurs feuilles vertes et frisées. Elle est à consommer avec de la sauce vinaigrette et des lardons fumés. Plusieurs personnes préfèrent également l’accompagner avec un œuf poché ou des foies de volaille.  Outre les charcuteries et les salades, le fromage est aussi une spécialité culinaire de Lyon en matière d’entrée.

Le tablier de sapeur comme plat principal

Afin de profiter d’un moment de repas exceptionnel, optez pour un plat principal de spécialité lyonnais. À ce propos, la ville des Lumières dispose une large liste dont vous pouvez choisir. Premièrement, il y a le tablier de sapeur. C’est un plat à commande impérativement pendant votre visite à Lyon. Il rassemble essentiellement les abats. On peut noter les tripes, le gras-double et le foie. C’est d’ailleurs un repas typiquement lyonnais qui possède une saveur inédite. Sa préparation résulte d’un gras-double ou de fraise de bœuf. Ce dernier est ensuite mariné dans du vin blanc. D’autres cuisiniers choisissent l’ajout d’huile, de citron et de moutarde outre le sel et le poivre.  Dans la plupart des cas, cette spécialité culinaire de Lyon se mange avec de la sauce Gribiche.

Autres spécialités lyonnaises à déguster sans modération

Outre le tablier de sapeur, il est possible de commander de la quenelle comme plat de résistance. Il s’agit ici d’une véritable tradition de la gastronomie de cette ville. Elle se fait à base de farine, de lait et de beurre. Accompagnée d’une sauce béchamel, elle est souvent parfumée du veau, du brochet ou de la volaille. Enfin, il y a le saucisson brioché. Une charcuterie qui peut être adoptée comme plat principal dans la ville des Lumières. Elle se distingue par le mélange d’une brioche moelleuse et d’un saucisson à cuire. Par conséquent, pour se régaler amplement, n’oubliez pas de goûter du poulet Célestine. Il en est de même pour la consommation du gratin Dauphinois et du Petit Salé aux lentilles.

Les cuisines lyonnaises sont des cuisines traditionnelles régionales des cuisines françaises. En faite, les cuisines lyonnaises, situées au carrefour des traditions culinaires régionales, tire pendant des générations les meilleures parti des ressources agricoles aux alentours : élevages du Charolais et de La Bresse, poissons du lac savoyard, gibier de la Dombes, les fruits et légumes primeurs, vins de Bourgogne et de la vallée du Rhône.

Les origines des bouchons lyonnais

Autrefois, les cabaretiers attachaient sur les portes de leurs établissements une botte de branchages nommée bousche dans les patois lyonnais. Pourtant, c’était à l’époque un endroit de retrouvaille masculin pour les bourgeois, les ouvriers ou les canuts, les employés et les chefs d’ateliers. En outre cela, leur nombre a bien diminué durant les années 1970 : à cause de la destruction des Halles, la disparition des industries de la soierie où s’étaient amplifiés les bouchons, une nouvelle mode pour des cuisines plus légères. Actuellement, les authenticités séduisent de nouveau et ainsi, les bouchons lyonnais ont su s’adapter.

Quels sont les tops 3 des bouchons lyonnais?

-Les bouchons comptoir Brunet : vous feront remonter le temps avec son zinc, ses banquettes et ses chaises bistrot. En général, les frais sont à l’honneur, avec des cuisines de bouchons gastronomiques. Vous pourriez ainsi retrouver les plats des terroirs lyonnais cuisinés légèrement. Pour le dessert, vous pouvez tester le gâteau Brunet qui est à base de pralines, de poires, d’abricots ou de pommes, suivant la saison.

-Le bouchon la voûte chez Léa : en faite, face à la colline de Fourvière. Il se situe entre le quartier Saint-Jean et Belle cour, qui est un endroit chargé d’histoire et est toujours habité par l’âme de la mère Léa, qui a fondé le restaurant en 1943.Depuis, vous trouveriez à la carte les classiques des bouchons : le poulet au vinaigre, le tablier de sapeur croustillant, ou encore la fameuse quenelle maison qui est servie avec des écrevisses.

-Le bouchon chez l’acteur : vous pouvez voir le jeune chef Olivier Bianchi cuisiner sous vos yeux. Il est en faite situé face à l’entrée des artistes au théâtre des Célestins, vous pourriez trouver des produits frais, traditionnels et faits maison. Les plats à tester absolument sont: le poisson cuisiné meunier et la tête de veau vinaigrette aromatisée avec des herbes.

Autres bouchons lyonnais authentiques

-Le bouchons des filles : moderne et authentique, ce restaurant girly vous propose du traditionnel avec un peu de légèreté. Idéal pour éviter les comas post-bouchons.

-Le bouchon aux 3 Maries : ce restaurant est l’un des plus vieux bouchons lyonnais. Il vous offre une carte comme vous les aimez : pâté en croûte, salade lyonnaise et aussi d’autres saucissons lyonnais.

-Le bouchon chez Georges : situé au cœur de la presqu’île, ce restaurant authentique bouchon avec un déco rustiques vous propose des plats typiques lyonnaises comme: le mâchon du matin, gratin d’andouillette et le tablier de sapeur.

-Le bouchon tête de lard : l’idée est en général l’association entre une cuisine authentique et une ambiance rétro. Le combo idéal afin de passer un moment agréable.

Vous travaillez continuellement durant la semaine. Du coup, vous n’avez pas le temps de faire quotidiennement votre cours et de remplir votre garde à manger. De ce fait, vous ne pouvez pas vous rendre au marché que le dimanche. Où peut-on alors faire son marché le dimanche matin pour faire le plein de fruits et légumes ? Voici quelques marchés nantais dont vous pourriez fréquenter.

Marché de Doulon

Pour faire le marché à Nantes à un dimanche matin, vous pouvez partir sur le marché de Doulon. En effet, c’est un marché qui se trouve sur la place du Vieux Doulon à Nantes. Il est fermé tous les jours de la semaine, et ne s’ouvre que le dimanche à partir de 8h à 13h. Pour s’y rendre, vous pouvez prendre les transports en commun qui ont des itinéraires passant près du marché. Une fois arrivé là-bas, vous pouvez voir un large choix de produits, de quoi faire vos emplettes. Effectivement, vous pouvez y apercevoir du fromage, viande, primeurs, poisson, fleuriste, voire même des vendeurs de textiles.  Par cet effet, il vous est possible de faire le plein de fruits et légumes le dimanche matin.

Marché de Malakoff – Pré Gauchet

Le marché de Malakoff – Pré Gauchet permet également de faire le marché à Nantes le dimanche matin. Effectivement, c’est un marché qui s’ouvre habituellement à partir de 8h jusqu’à 13h à  chaque dimanche durant toute l’année. Il se trouve à la Place Rosa Parks à Nantes et pour vous y parvenir, vous pouvez prendre le bus ou le tramway qui évidemment passe dans la Rue Du Pré Gauchet. Ce marché a été ouvert depuis septembre 2015 et on peut y rencontrer des trentaines de commerçants qui proposent des boissons et des alimentations diverses, tels que la restauration rapide, la viande, les fruits et les légumes etc. Bref, pour vous approvisionner en fruits et légumes le dimanche matin, vous pouvez vous rendre sur le marché de Malakoff – Pré Gauchet

Marché de Talensac

Le marché de Talensac est un marché couvert qui se trouve dans le quartier Hauts-Pavés-Saint-Félix. Il est ouvert de 8h à 13h, tous les jours sauf le lundi. Par conséquent, il s’ouvre également le dimanche. Pour s’y trouver, vous pouvez également prendre le tram et le bus qui ont des arrêts à proximité. C’est un marché très ancien qui a été créé en janvier 1937. Par contre, les produits qui s’y vendent sont des plus frais. En effet, dans ce marché, les producteurs et les commerçants locaux proposent des produits de saison venant de la Bretagne, Val de Loire, Vendée et Nantes. Par conséquent, pour faire le marché à Nantes le dimanche matin et se ravitailler en fruits et légumes, le marché de Talensac est parfait.

Faire une touristique pendant une vacance est nécessaire pour une famille. Il faut choisir des endroits qui a d’histoire. Les plats de la ville seront aussi à déguster. La visite du Vieux Lyon est idéale. La ville a des histoires à raconter. Des endroits pour faire de la visite sont nombreux. Lors d’une visite du vieux Lyon, découvrir les différents restaurants est incontournable.

Le vieux Lyon

Le Vieux Lyon est une ville touristique. Des histoires attirent beaucoup des touristes. Il fait partie des quartiers Renaissance d’Europe. Des endroits touristiques font de la ville une très belle image. Les touristes peuvent marcher sur le pavé de la ville en faisant la visite des lieux touristiques. Il y a la colline de Fourvière, la Cathédrale de Saint-Jean et des musées. Des musées et de nombreux œuvres d’art sont à découvrir. Ils font du Vieux Lyon un endroit merveilleux. Il y a des musées miniatures, des musées Gadagne d’histoire de la ville et bien d’autres. Des visites guidées peuvent être organisées dans la ville. Les lieux touristiques ne sont pas les seules choses qui attirent les touristiques. Le plat de la ville est appétissant. L’endroit et l’architecture de la ville sont magnifiques.

Découvrir la ville du vieux Lyon

Il y a différentes façons de découvrir une ville. Il est possible de faire la visite du vieux Lyon à pied ou à vélo ou en transport en commun. Des guides peuvent être recommandés. Des lieux peuvent être visités. Le parc de la tête d’Or est un parc qui peut être visité en famille. Les amoureux peuvent se balader dans la place Belle-cour. Pour voir des fontaines majestueuses et les sculptures, il faut aller à la place des terreaux. En parlant de Vieux Lyon, La basilique de Fourvière est très connue. De nombreux touristes visitent cette partie de la ville. Il existe d’autres endroits magnifiques à voir dans le Vieux Lyon.

Les saveurs attirantes du vieux Lyon

Après avoir fait la découverte de la ville, les touristiques peuvent avoir faim. Il faut se détendre et profiter de la saveur de la ville. Goûter les spécialités culinaires de la ville fait partie de la visite du vieux Lyon. Plusieurs restaurants sont ouverts pour accueillir des visiteurs. Ces établissements proposent des plats uniques et savoureux. Il y a des cartes pour le menu qui change en fonction de la saison. Le poisson et les fromages sont nombreux et font la différence des autres villes. Des vins sont proposés. Des produits de la gastronomie lyonnais sont à déguster. Il faut faire une réservation en avance et chaque table propose des spécialités différentes. Il y a des chocolats, des macarons, des brioches, et toutes sortes de gourmandes à essayer.

Zone anciennement occupée par des bâtiments industriels dans la partie sud de Lyon, Confluence est désormais devenue un lieu moderne et culturel. En effet, ce quartier abandonné fait partie des projets urbanistiques qui remontent depuis des années.

La généralité sur le projet Lyon Confluence

La ville de Lyon est réputée par ses greffes, et c’est tout à fait le cas de Confluence. Étymologiquement, Confluence est un lieu qui se trouve entre Rhône et Saône, c’est-à-dire au confluent de ces deux départements. Ce travail d’aménagement a été inscrit dans les projets de l’ancien maire Raymond Barre qui date des années 90. Cependant, les travaux n’ont débuté qu’en 2003 lors de l’approbation du Grand Lyon. Le principal objectif du projet est la création d’un nouveau quartier en centre-ville pour refléter une meilleure image de l’agglomération lyonnaise. Son but est aussi de proposer des activités novatrices et captivantes tout en renforçant ses atouts touristiques. Tout cela afin de reconquérir le marché touristiques et attirer de nouveaux visiteurs. Actuellement, le quartier de Confluence est devenu une véritable zone d’urbanisation. C’est un endroit fascinant de 150 hectares regroupant des bâtiments modernes, des restaurants, des musées, des centres commerciaux et bien d’autres.

Un lieu moderne et innovant

Comme l’origine du projet est de faire du quartier de Confluence, une zone d’extension urbaine, ce nouveau quartier à Lyon a connu de grands succès. Les différents travaux de rénovation ont permis de redoubler la superficie du centre-ville en Europe. C’est aussi le premier quartier garanti par le label WWF et une plateforme empirique de Smart Grid. Cela affirme que c’est un lieu civilisé qui est à la fois innovant et responsable. La nouveauté et l’originalité sont au cœur de la conception du quartier puisqu’il a été réalisé par des architectes de grand renom. Vous pouvez par exemple trouver l’Hôtel de région de Christian de Portzamparc. Ce nouveau lieu de vie a accueilli des centaines de startups spécialisés dans le domaine de la numérique. De plus, c’est avec cette plateforme que le Grand Lyon a pu mettre en valeur ses espaces et ses paysages fluviaux d’exception.

Un nouveau centre culturel

Actuellement, le quartier de Confluence s’affirme comme un lieu culturel. En effet, le festival des Nuits sonores et la Biennale d’art contemporain se déroulent là-bas. Ce dernier est également considéré comme le musée des arts préhistoriques et d’anthropologie. Ce muséum de style déconstructiviste est accessible au grand public depuis le décembre 2004. Le musée des Confluences a été inventé par le cabinet d’architectes dirigé par l’Autrichien Coop Himmelb. Au fil de sa transformation en pôle culturel, cet endroit unique reflète l’origine de l’univers. Ainsi que le monde de la création et de la technologie et la place des êtres vivants.

Lyon est l’une des villes les plus attractives en France. Elle devient le lieu préféré des visiteurs grâce à ses attraits touristiques et culturels. Vous avez envie de passer un bon week-end en famille ! Nombreuses sont les activités à faire à Lyon et ses alentours.

À la découverte des monuments historiques

Pour vos prochains week-ends, venez découvrir les différents monuments à Lyon. La plus célèbre est la place Bellecour. Pour les Lyonnais, c’est l’endroit magnifique pour un rendez-vous appelé le point kilométrique 0 de la ville. Au centre de ce lieu, il y a la statue de Louis XIV sur son cheval, du Petit Prince et d’Antoine de Saint-Exupéry. Fréquentez aussi Le Vieux Lyon pendant votre week-end à Lyon. Situé en bordure de Saône, ce quartier devient célèbre et classé grâce au style architectural des maisons et des rues. Vous y trouverez la cathédrale Saint-Jean-Baptiste et les traboules de la ville lyonnaise. D’ailleurs, d’autres endroits incroyables comme la basilique Notre-Dame de Fourvière, la colline de Fourvière, le mur des canuts, la place de jacobins, l’église Saint Nizier et la fontaine Bartholdi marqueront votre passage dans la ville.

Les parcs attractifs à visiter et les diverses activités à faire

Visiter Lyon est une occasion idéale pour participer aux diverses activités liées à la culture, au tourisme et surtout au loisir. D’abord, pendant le week-end à Lyon, faites un tour des lieux attractifs avec un vélo électrique. C’est la bonne occasion de découvrir la beauté du parc de la tête d’Or. Ce dernier est nommé poumon vert de Lyon parce qu’il est l’un des grands parcs français. Vous pouvez également y faire un pique-nique avec vos proches par la même occasion. Outre, la fête des Lumières marquera votre visite à Lyon. C’est une fête qui a lieu une fois chaque année. Si vous passez donc à Lyon au mois de décembre, spéculez de cette atmosphère lumineuse et magique avec vos proches. Ce n’est pas tout, le parc de Gerland, entouré d’arbres, est l’endroit dédié aux enfants pour les plaines de jeux.

À propos des spécialités culinaires lyonnaises

Pendant votre week-end à Lyon, prenez temps de savourer les spécialités culinaires dans un bouchon Lyonnais. Leur cuisine est simple, mais savoureuse. Ainsi, vous avez un large choix sur la palette de recettes qui font partie de la tradition à Lyon :
– Grattons : les morceaux de couenne de porc.
– Charcuteries : le saucisson lyonnais est très reconnu dans toute la France.
– Tablier de sapeur : Le foie gras et les tripes préparées à base d’huile, vin, beurre et moutarde.
– Quenelle : une pâte moelleuse fabriquée à base de farine et accompagnée d’une sauce Nantua.

À part ces produits gastronomiques lyonnais, dégustez également les bugnes, la glace, le chocolat, ainsi que les cardons lors de votre passage à Lyon. Votre week-end sera donc sublime.

Après avoir boudé le vélo durant tout l’été, me revoilà en selle pour la rentrée puisque j’utilise le vélo essentiellement pour me rendre à la gymnastique.

Première désillusion, j’apprends que la halle des sports Vivier Merle est désormais interdite aux vélos et aux trottinettes. Moi qui trouvait rassurant de rentrer mon vélo dans le gymnase durant mon entraînement, je suis dépitée…

Qu’à cela ne tienne, je prendrai un Vélo’v, puisqu’il y a une borne à côté de chez moi et une autre à 200 mètres du gymnase ! En plus, j’ai de la chance, mes heures de départ et d’arrivée sont propices, j’ai toujours des vélos à disposition et des places pour pouvoir reposer le mien (ce qui n’est pas toujours le cas… l’autre jour quand j’ai pris un vélo dans une station complètement pleine, j’ai cru que le pauvre cycliste qui attendait désespérément qu’une place se libère allait me sauter au cou). Rapide inspection des vélos : pneus, chaîne, tout semble ok, je me lance. Et évidemment au premier tour de pédale je me rends compte que le pédalier est désaxé et que le guidon aussi d’ailleurs. Me voilà donc en train de pédaler les genoux en dedans et avec le guidon tourné à droite pour aller tout droit… bon, heureusement le ridicule ne tue pas.

Après ma séance de gym, je reprends un vélo. Après la classique inspection, je me décide… et mise encore une fois sur le mauvais cheval ! Cette fois-ci, j’ai l’impression que le vélo est bloqué sur la vitesse 12 au niveau de la difficulté, et sur la vitesse -3 au niveau de la vitesse. Visiblement, ça manque d’huile de coude là-dedans ! Je me dis que je vais aller tout de même jusqu’à la prochaine station avant de l’échanger… et puis finalement, je finis mon trajet, sur les rotules… Finalement j’aurais pu faire l’économie de l’abonnement à la gym, le trajet à vélo est une activité sportive suffisante dans ces conditions !

Près de la place des Martyrs de la résistance, je contemple avec émotion le premier panneau « tourne à droite » que je vois « en vrai »… J’ai presque la larme à l’œil, moi qui grillait le feu pour prendre la piste cyclable à droite, et qui parfois me faisait klaxonner par des automobilistes « jaloux », me voilà désormais dans la légalité. Je regrette juste qu’il n’y en ai pas plus sur mon trajet…

Plus tard, une fois à pieds, en manquant pour la énième fois de me faire écraser au croisement de la rue Rabelais et du cours de la Liberté, je me dis, une fois de plus, que je devrais vraiment écrire pour suggérer que l’on supprime les deux places de stationnement situées juste avant le passage piéton, parce que les voitures garées bouchent toute visibilité aussi bien pour les automobilistes qui arrivent (trop vite) au stop (qu’ils grillent) que pour les piétons qui doivent tendre l’oreille avant de s’engager. On pourra par exemple y mettre des arceaux de stationnements pour les vélos…

Mais bon, je n’écrirai sûrement pas… à se demander si au final je ne préfère pas râler… Comme quoi en douze ans de vie à Lyon j’ai bien fini par devenir une Lyonnaise

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